brique en terre cuite avantage et inconvénient
Siles tuiles en terre cuite présentent de nombreux avantages, tels que la longévité et la facilité d’installation, elles présentent également des inconvénients. Nous abordons ci-dessous les avantages et les inconvénients afin que nos clients puissent faire un
Constructionde murs, murets, terrasses. Couverture des toitures. Isolation de la maison avec les briques monomurs. Revêtements des murs et sols. Autre emploi : Décoration des surfaces (plans de travail). Avantages : Excellente tenue dans le temps. Emmagasine la chaleur durant la journée et la restitue la nuit ; donc toucher agréable et pas
Lesinconvénients de ce matériau sont qu’il est lourd, cassant et vulnérable au froid. La jardinière en terre cuite est fabriquée à partir d’argile cuite. La nature poreuse de ce conteneur à base de terre permet à l’air et à l’eau de
Uneisolation parfaite sur tous les plans. La brique terre cuite est une solution très avantageuse à plusieurs titres. D’abord, il s’agit d’un matériau qui procure une isolation thermique et phonique parfaites. En effet, cet outil de
Le31/07/2020 à 12h19 Env. 300 message Bouches Du Rhone. Bonjour à tous, il serait intéressant d'avoir des avis comparatifs sur la brique de structure terre cuite. On ne vas pas parler des monomurs mais des briques de 20 cm. Quelles sont vos avis entre les 3 gros industriel qui se partage le marché a savoir Wienerberger et la brique GFR
Site De Rencontres Pour Gens Beaux. Le carrelage en terre cuite suscite un véritable engouement depuis quelques années. Très élégant et résistant, il présente de nombreux avantages que l’on va rappeler dans ce guide. Il faudra aussi souligner quelques inconvénients qu’il faut avoir en tête avant d’investir dans ce revêtement. Qu’est-ce que le carrelage en terre cuite ?Avantages du carrelage en terre cuiteInconvénients du carrelage en terre cuiteBilan des courses est-ce intéressant ?Traitements du carrelage en terre cuiteChoisir son carrelage en terre cuiteQuel est le prix du carrelage en terre cuite ? Qu’est-ce que le carrelage en terre cuite ? Le carrelage en terre cuite, également appelé carrelage terracotta, est un type de revêtement composé d’argile et de sable. Cette matière est cuite à plus de 900°C afin de devenir très robuste. Avant même que les carreaux soient peints, ils ont une couleur spécifique qui dépend des matières premières utilisées, de la température de cuisson et du taux d’oxyde de fer. Voici les trois principaux coloris RougeOcreJaune On trouve le carrelage en terre cuite dans les logements anciens et rustiques. Il permet un choix très large de formes et de couleurs mais présente aussi une forte solidité. C’est donc sans surprise qu’il revient aujourd’hui à la mode… Mais a-t-il vraiment été un jour démodé ? Avantages du carrelage en terre cuite Si la terre cuite est aussi appréciée par les designers d’intérieur, et par les particuliers, c’est parce qu’elle présente de très nombreux avantages. Les voici Esthétisme Variétés de choix couleurs, formes RobustesseInertie thermiqueMatériau écologique Un atout esthétique Le principal avantage du carrelage en terre cuite, celui qui saute aux yeux, c’est son élégance. Que vous ayez un habitat rustique ou très moderne, la terre cuite s’adapte parfaitement et le rendu est particulièrement esthétique. En termes de décoration, de meubles, peu importe tout peut être associé avec ce revêtement. L’avantage aussi, pour les amoureux de la décoration d’intérieur, ce sont les possibilités multiples en termes de coloris et de finitions comme nous le verrons par la suite. Le carrelage en terre cuite peut servir pour une cuisine, une salle à manger, un extérieur bref dans toutes les pièces de votre maison. Résistant et antidérapant Le carrelage en terre cuite est tout à fait résistant, il peut donc être installé dans une pièce à forte circulation. Moisissures et bactéries ne pourront pas nuire à votre sol. Le matériau est un vrai gage de longévité et s’inscrit dans la norme Haute Qualité Environnementale HQE. Sa durabilité peut se remarquer dans plusieurs domaines Performance thermiquePerformance acoustiquePerformance mécaniquePerformance respirante En plus de leur absence complète d’usure, les carreaux en terre cuite sont assez fins, ce qui permet d’installer un système de chauffage au sol. La matière est également un parfait antidérapant, ce qui n’est pas négligeable, surtout pour des personnes âgées. La terre cuite, un isolant naturel La terre cuite accueille très bien la chaleur et la restitue tout aussi bien il présente une excellente inertie thermique. Les fabricants de ce type de carrelage ont progressé depuis des décennies pour offrir un matériau adapté au chauffage au sol, et qui émet un minimum de gaz à effet de serre lors de sa production. Ce carrelage est 100% naturel et ne dégage aucun composé organique ni substance allergène. En optant pour ce matériau écologique, qui répond à la norme HQE, vous faites un geste pour la planète. De plus, grâce à son immense capacité d’isolation, la terre cuite vous fait réaliser des économies d’énergie, tout en garantissant une bonne qualité de l’air. Vous aurez donc besoin de moins de chauffage en hiver, et pourrez vous passer de la climatisation en été. Inconvénients du carrelage en terre cuite Avant de se féliciter de toutes ces caractéristiques positives, il faut toutefois rappeler quelques points faibles. S’il est vrai que le carrelage en terre cuite présente une longévité phénoménale, celle-ci peut s’obtenir au prix d’un entretien régulier. Sinon, les inconvénients suivants apparaîtront de manière flagrante PorositéBesoin d’entretien hydrofugePose délicateVariation de couleurs entre les carreaux possible Une pose délicate L’installation d’un carrelage en terre cuite nécessite beaucoup de professionnalisme. Les carreaux sont très fragiles avant leur pose, surtout quand ils sont en grand format. Il vaut donc mieux passer par un carreleur ou autre professionnel, ce qui va augmenter le coût final. Il est essentiel d’arroser les carreaux ou de mouiller la chape avant de procéder à la pose. Une certaine porosité La terre cuite présente une grande porosité. Il faut la traiter après cuisson contre les taches et l’humidité. Nous vous expliquons plus bas comment protéger votre carrelage terre cuite au mieux. Ce revêtement va donc vous demander de l’entretien après la pose, mais aussi régulièrement pour éviter les taches et la saleté. Une terre cuite poreuse va avoir tendance à absorber plus facilement les liquides, c’est pourquoi elle nécessite un entretien régulier. Bilan des courses est-ce intéressant ? Comme nous l’avons vu, les avantages du carrelage en terre cuite sont particulièrement convaincants. Une esthétique parfaite et modulable, une robustesse sur le long terme… Tant d’atouts qui sont primordiaux au moment de choisir son revêtement. Mais en équilibrant le jugement avec les inconvénients, cela reste-t-il intéressant ? Cette réponse va vous être personnelle, puisqu’elle dépend de deux critères que nous allons voir le budget que vous êtes prêt à mettre carreaux, traitement, entretien, pose ; et le type de traitement que vous choisissez. A la fin des comptes, pour une maison moderne ou ancienne, le carrelage en terre cuite reste une superbe idée. Traitements du carrelage en terre cuite Le carrelage fait en terre cuite va requérir un traitement hydrofuge pour le protéger contre l’humidité et les taches. TraitementEffetRégularitéRésine hydrofuge antitacheProtection du carrelageRendu brillant et mouilléStabilité des teintesDès la fin de la cuissonSur deux trois joursHuile de lin et essence de térébenthineProtection efficaceModifie la teinte, rendu matEncrassageA renouveler régulièrement En plus du traitement initial, il faudra assurer un entretien régulier. Pour éviter les produits qui encrassent, sachez que plusieurs solutions naturelles existent, par exemple Eau pureSavon noirCristaux de soudeBicarbonate de soudeDentifrice… Choisir son carrelage en terre cuite Le carrelage terracotta est adaptable à toutes les formes et tous les coloris. Voici les principales finitions que l’on trouve en vente sur le marché Tomettes petits octogones ou hexagones aux couleurs chaudesCarreaux format carré entre 10x10cm et 30x30cmPavés grand carré idéal pour une terrasseBriques rectangles de couleur rouge parfait en extérieur ou salle à manger Alors comment choisir ? L’élément décisif sera la pièce qui recevra ce carrelage, il faut qu’il s’accorde avec. De plus, il est généralement conseillé d’opter pour des petits carreaux car ils résistent bien mieux aux chocs que les grandes dalles. Pour le salon, la cuisine ou les pièces de vie, mieux vaut opter pour un carrelage non émaillé. Pour la salle de bain ou les toilettes, un carrelage émaillé, qui résiste à l’humidité, est préférable. Quel est le prix du carrelage en terre cuite ? Enfin, il convient de se poser la question du budget que l’on est prêt à investir dans son carrelage. Pour vous donner un ordre de grandeur, voici quelques estimations inspirées du marché Type de matériau poséPrix minimal €/m²Prix maximal €/m²Carrelage industriel35€90€Carrelage artisanal60€120€Chape de mortier20€25€
Bonjour à tous, Je vais bientôt débuter le gros oeuvre de ma maison et j'hésite sur le bloc à utiliser. J'ai quand même une petite idée et j'hésite entre le bloc en terre cuite à maçonner et celui à coller. Je compte mettre comme isolant du polyuréthane de 8cm et bien scotcher le tout pour rendre tout ça bien étanche. Le bloc à coller s'impose t-il lorsque l'on recherche une "maxy isolation"?ou bien n'est ce qu'un argument de vente,et la solidité? Et pour l'isolant,8 cm est ce assez?faudrait-il passer à 10,ou plus? Je tiens à précisermais vous l'aurez comprisque je ne cherche pas à épater la galerie,mais simplement à trouver ce qu'il y a de mieux tout en restant dans de la construction traditionnelle c'est à dire en dur...pas de bois!. Je vous remercie d'avance et j'attend vos réponses sur cette double questionbloc et isolant LED3 49 ans, Hainaut Bonjour, Perso, on a choisi le joint car nous n'avons pas de plafonnage. Le bloc à coller permet, je crois un plafonnage sans beton contact. Le bloc à coller reprend moins de mouvement puisque joint plus mince. Qd à l'isolation, il faut voir l'épaisseur max que votre fondation permet. Plus il y en a mieux c'est, c'est certain. Faire l'étanchéité entre plaque mais également en partie inférieur et supérieur. A+ Led Merci pour ta réponse, qu'est ce que le beton contact? quand tu parles des parties inférieur et supérieur,tu parles des fondationset caveet du grenier? J'hésite encore à maçonner les blocs de caves sur 30 ou 40 il faudra que je voie quel isolation mettre. Réaliser la partie portante de la maison en blocs de 14au lieu du 19 pose t-il un problème? Dernière édition par un modérateur 21 Juillet 2011 LED3 49 ans, Hainaut Faudrait qd même consulté ton archi et l'ing en stabilité non avant de passer en bloc de 14. oui bien sur,je ne vais pas faire ça de mon propre chef. en terme d'isolation pure,vaut-il mieux un bloc de terre cuite de 19 avec 8 cm d'isolant. ou bien,un bloc de betondonc moins isolant de nature de 14car plus solideavec 12 cm d'isolant. Sachant la différence de prix des deux blocs et le supplément pour un surplus d'isolant qui serait absorbé par le moindre cout du bloc de beton. quel serait le plus isolant des deux??? qu'on ne me dise pas le bloc de terre cuite et 12 cm Ben si...a priori il n'y a pas de soucis a maçonner des blocs de 14 cm, sauf si tu fais un building, on met de 19 cm seulement pour les murs de refends car il faut cela pour poser les hourdis. Ceci-dit consultes un architecte. Sinon, c'est bcq plus isolant de mettre 12 cm d'isolant sur bloc de béton que 8 cm sur BTC. Maintenant il y a isolant et isolant, 8 cm PUR par exemple Eurowall donne la même isolation que 11 cm de neopor, = 12 cm de LDV ou styrodur. Mais le prix n'est pas le même. Si tu maçonnes toi-même, mets les blocs de cave en 40 cm - le surcoût n'est pas énorme par rapport au reste, et mets le max d'isolation le néopor = sorte de frigolite est un bon choix car prix intéressant mais un peu plus laborieux à mettre Un avantage des blocs à coller est que cela va plus vite intéressant si vous faites vous-même, inconvénient le prix est plus élevé. C'est certainement ce que je vais faire,sur 40 cm ça fait donc 19bloc+9brique=28cm,il me reste donc 12 cm pour l'isolant→donc 10cm d'isolant en comptant 2cm de vide entre la brique et cet isolant. Y at-il de l'isolant qui fasse 10 cm en polyuréthane avec une face en alu? Avec un bloc de 14 ça faciliterait les choses. voilà la fiche technique de eurowall,ils fabrique jusque 10cm de stock et 12 sur commande. si je suis limité à cause du fait que je doive utiliser un bloc de19 je mettrai du 10 et plus si possible. le mieux ce sera 12 cm d isolant + un bloc de 14 maconnerie collée uniquement si tu ne travaillais pas avec un isolant extérieur et que ton mur était également ton isolation bisotherm, Ytong, Terre cuite ds ce cas la on pourrait peut etre se poser la question, mais des que tu as un isolant extérieur, le gain possible est ridicule. eljub 40 ans, Brabant Wallon Plutôt que de ne mettre une seule épaisseur de 10 ou 12cm, il est plutôt conseillé de mettre deux couches de 5 ou 6cm et de décaler les joints des panneaux blanchec'est bien ce que je pensais et puis la différence de prix entre le bloc de béton de 14 et celui à coller de 19 est important,la différence de prix payera le surplus d'isolant. eljubj'ai vu faire çales deux coucheset je me suis demandé viens de répondre a ma faut voir le prix pour celui de 12 cm qui est disponible uniquement sur commande,donc ça peux poser des problèmes de disponibilité. 2x6 c'est je pense mieux que 1x12 car on profite 2 fois de la façe en alu qui,parait-il,renforce le pouvoir isolant et comme tu dis le décalage supprime les ponts thermique. et si je met 2x12......peut-etre la norme dans quelques années?? Bonjour Led 3, Je vois bien comment réaliser l'étanchéité supérieure qui n'est autre que le jonction isolation façade avec isolation toiture. Par contre, comment fait-on la jonction inférieure? Je pensais que l'isolant était simplement posé sur le diba... Merci d'avance Mousse de PUR, attention préférer la mousse avec pistolet et pas celle en bombe où on en met partout sauf la où on veut... Parfait merci lepasserelle, Mais ne faut-il pas laisser ouvert pour que l'éventuelle eau d'infiltration puisse s'échapper? Merci d'avance pour vos réponses Il ne doit pas y avoir d'eau d'infiltration si vous avez mis du tape sur les joints des plaques d'isolant. Mousser également le trou laissé par les crochets si nécessaire.
Pour beaucoup, cultiver des plantes en pot est la seule alternative pour disposer de verdure chez soi lorsqu’on n’a pas la chance d’avoir un jardin. Pour d’autres, c’est une solution esthétique pour décorer son intérieur, mais pour que les plantes puissent bien s’épanouir, le choix de leurs contenants est essentiel. Sur le marché, vous avez principalement le choix entre le pot en plastique ou en terre cuite. Ces derniers constituent la meilleure option pour assurer une bonne santé à vos végétaux. Les pots en terre cuite pour une meilleure santé des plantes La poterie en terre cuite est conçue à partir d’argile moulée pour être ensuite durcie et formée définitivement en la chauffant à très haute température. Opter pour un pot en terre cuite, c’est avant tout faire le choix d’un matériau naturel, apportant beaucoup de charme à votre maison. Vous pouvez opter pour des pots de couleur naturelle ou personnalisée vernissés, comme les jolis pots de MonPotDECO, qui protègent en même temps vos plantes du gel et des UV. Des pots aux vertus thermorégulatrices Un pot en terre cuite assure en effet un rôle de régulation de la température. Il va ainsi protéger les racines du chaud comme du froid, quelle que soit la saison. Leur porosité naturelle permet aussi à l’air et à l’eau de circuler, favorisant un épanouissement optimal. En raison de cette porosité, le pot en terre cuite est le choix adapté pour des plantes ne supportant pas d’avoir des racines longtemps trempées dans l’eau, car elle permet une évaporation importante. En revanche, il faut s’assurer de ne choisir que des pots percés au fond pour éviter qu’un trop-plein d’eau n’asphyxie vos plantes. Leur poids constitue un avantage autant qu’un inconvénient. Les gros pots en terre cuite sont certes difficiles à déplacer, mais ils sont aussi plus stables, ce qui est particulièrement pratique pour les plantes au feuillage important pouvant faire basculer le pot sous l’effet du vent. © Jardipartage Les inconvénients de la terre cuite Outre leur poids, les pots en terre cuite peuvent aussi être plus fragiles. Contrairement à du plastique, le matériau se brisera sous l’effet d’un gros choc. Ils peuvent aussi présenter des taches ou des traces de champignons avec le temps, du fait d’une importante proportion de sels solubles dans certains types de terres, qui vont être absorbés par la terre cuite. Les engrais ou le calcaire de l’eau d’arrosage peuvent aussi laisser des dépôts organiques, pouvant entraîner des variations de teintes et de couleurs. Malgré tout, ces petits défauts peuvent contribuer à apporter un aspect patiné et de l’authenticité aux pots. Et il est possible de les prévenir et d’y remédier avec un traitement adapté. Les pots en terre cuite ont aussi la réputation d’être chers. Mais en réalité, on en trouve à tous les prix, à partir de quelques euros seulement. Les pots en plastique sont-ils à bannir ? Les pots en plastique offrent aussi des avantages certains, étant notamment plus légers et offrant une grande diversité de couleurs. Ils peuvent aussi coûter moins cher, dépendant de leur qualité. En revanche, ils ne sont pas très indiqués pour assurer la santé des plantes. En effet, ils n’assurent aucune régulation thermique comparés aux pots en terre cuite. En hiver, vos plantes en extérieur peuvent geler, car la motte subira constamment le froid. Ces pots sont aussi contre-productifs en été puisque le matériau a tendance à retenir voire amplifier la chaleur. Ils ne sont pas adaptés pour la majorité des plantes, sauf pour celles qui apprécient l’humidité et la chaleur. C’est le cas des plantes tropicales, aquatiques, marécageuses ou encore des plantes carnivores. Attention, les pots de couleurs sombres peuvent faire monter rapidement la température lorsqu’ils sont exposés au soleil, ce qui peut brûler les racines. Il n’y a pas non de plus de grandes différences en matière de longévité entre un pot en plastique et un pot en terre cuite. L’un comme l’autre peut se casser avec le temps, les chocs ou encore le manque d’entretien. Mais la nocivité de fabrication et de recyclage du pot en plastique constitue l’une des raisons poussant les personnes à se tourner davantage vers un matériau naturel comme la terre cuite. Des pots en terre cuite qui durent plus longtemps La durée de vie des pots en terre cuite et l’altération de leur aspect dans le temps constituent des freins à l’achat pour de nombreux amateurs de jardinage. Or, il est possible d’optimiser la longévité de vos pots en terre cuite grâce à un bon entretien. Pour maintenir leur aspect dans le temps, n’hésitez pas à les nettoyer avec l’eau de javel diluée puis à les rincer abondamment. Ce geste vous permettra d’éliminer les bactéries. Pour un pot neuf, mouillez-le entièrement dans un bain d’eau non calcaire avant son utilisation. Vous pourrez pour cela utiliser de l’eau de pluie. L’idée est de le gorger d’eau pour être moins sensible au froid et à la chaleur. Après avoir fait sécher votre pot, utilisez un chiffon imbibé d’huile d’olive ou de tournesol pour le passer sur toute la surface afin de le protéger et lui donner un bel aspect brillant. Il est également conseillé de faire tourner régulièrement vos pots en extérieur afin qu’ils puissent être à la fois exposés au nord et au sud. Une exposition permanente au nord favorise le développement des mousses. Il faut aussi s’assurer que les trous de drainage ne soient pas bouchés pour que l’eau puisse s’écouler correctement et éviter les risques de gel et de fissure. Il suffit pour cela de surélever légèrement vos pots. Enfin, pour les dépôts de calcaire dont peuvent faire l’objet les pots en terre cuite, vous pourrez vous en débarrasser en les brossant régulièrement. Ces dépôts disgracieux apparaissent avec le temps, surtout si vous utilisez de l’eau calcaire pour l’arrosage, mais si vous utilisez l’eau de pluie, le problème ne se posera pas. Une autre solution consiste aussi à tremper le contenant dans un mélange d’eau et de vinaigre blanc pour en éliminer le calcaire plus facilement au brossage. Vous pourrez le faire lors du rempotage par exemple. Sur le même thème ➥ Conseils avant l’achat de plantes ➥ Comment arroser les plantes en hiver ?
Classique, harmonieuse et efficace, ce sont les attributs qui permettent de repérer à coup sûr une extension de maison traditionnelle. Son esthétisme intemporel assure sa valeur immobilière. Cette extension garantit un attrait certain pour de potentiels acquéreurs. Des envies d’agrandir son habitat sans dénaturer le charme de l’existant ? Choisissez ce style architectural ! La principale fonction de ce style d’extension est de reprendre quelques particularités ou la totalité des caractéristiques d’une maison afin d’éviter un choc architectural. L’homogénéisation de la nouvelle surface avec le bâti existant prime. C’est pourquoi, il n’est pas rare de procéder à des travaux induits, de rénovation sur l’existant. Un ravalement de façade, le remplacement des menuiseries sont des opérations courantes pour parfaire l’harmonisation. A l’intérieur comme à l’extérieur, l’extension traditionnelle se fond à l’existant pour donner l’illusion que cette suite parentale, cette nouvelle cuisine, ces nouveaux mètres carrés ajoutés au salon ont toujours été présents. Car oui, elle peut dissimuler toutes les pièces, à l’initiative de votre projet d’amélioration de l’habitat. Au-delà de reprendre les caractéristiques initiales de la maison, le design de l’extension traditionnelle coïncide à la perfection avec l’architecture régionale pour se fondre dans son environnement. De la maçonnerie à la couverture le choix des matériaux La fusion de l’extension traditionnelle dans son environnement passe par la sélection de matériaux appropriés. Parpaing, brique ou bois, ce choix se réalise en fonction du design architectural souhaité et des qualités recherchées. Peu importe les matériaux retenus, nous sommes en mesure de bâtir votre projet. L’ossature bois se distingue par ses qualités architecturales. Ce mode constructif est flexible. Il permet des possibilités infinies de conception. Sa rapidité d’installation est également l’une des raisons de son succès. En effet, les éléments sont directement préfabriqués en usine avant d’être montés sur place. Le bois est léger, il permettra d’alléger le volume structurel de votre extension. Deux choix pour recouvrir l’ossature bois l’enduit et le bardage bois. En dépit de l’engouement pour le bois, le parpaing et la brique sont encore des matériaux plébiscités par les particuliers, soucieux d’agrandir leur habitat. Le parpaing est d’ailleurs le matériau de construction le plus utilisé en France. Présentons en premier lieu, le matériau le plus ancien des deux, la brique. Parce qu’en effet, s’ils sont tous deux considérés comme de la maçonnerie classique, ils ne disposent pas des mêmes avantages et inconvénients. La brique en terre cuite est solide, facile à poser et résistante. Son esthétisme lui permet de se passer d’un recouvrement de façade. Et pour finir elle régule l’humidité. Son inconvénient se résume en un mot son prix, plus élevé que le parpaing. Quant au parpaing, il est solide et dispose d’une bonne résistance au feu. Il est surtout apprécié pour son coût, très avantageux. Néanmoins, sa forme imposante empêche une improvisation sur la forme donnée à la structure. Monopente, double pente, 3 pentes ou même 4, toutes les pentes sont envisageables. A condition d’exclure la toiture plate, réservée aux extensions de style contemporaine. En pratique, la seule condition est de se rapprocher du style initial de la maison afin de parfaire la continuité entre l’existant et l’extension. La couverture de toiture choisie doit être identique à celle présente sur votre maison. Les plus courantes sont la tuile et l’ardoise en fonction de la localisation de votre maison. Une question sur votre projet ? Nos conseillers vous répondent et organisent une visite conseils gratuite pour étudier la faisabilité du projet. Contacter votre interlocuteur local En bardage bois, vitrée ou en pierre les typologies Agrandir l’habitation n’est pas l’unique avantage procuré par la construction d’une extension de maison traditionnelle. Souvent, on cherche à faire baigner la nouvelle surface dans la lumière naturelle. Et, l’extension vitrée est une solution pour garantir cette luminosité recherchée. Une extension de maison vitrée facilite la circulation de l’intérieur vers l’extérieur. L’accès aux extérieurs est facilité toute l’année. En conséquent, c’est aussi l’occasion de prolonger l’agrandissement par un préau et profiter d’une terrasse extérieure couverte. L’efficacité d’une toiture en “dur” permet d’y installer votre salon de jardin. Pour respecter l’environnement et le style existant, tout en valorisant l’agrandissement de la maison, le bardage bois remplit parfaitement ces fonctions. Le bardage bois se compose de lames. Elles sont posées à la verticale ou à l’horizontale. A la recherche d’un style traditionnel, privilégier la pose à la verticale. Si vous ne souhaitez pas de bois naturel, les matériaux composites proposent de nombreuses solutions aux aspects bois et aux coloris multiples pour un rendu totalement “bluffant”, sans contraintes d’entretien. Propriétaires d’une longère bretonne ou tout simplement heureux propriétaires d’une maison en pierre ? Il faut savoir qu’il est possible de se réapproprier ce matériau pour construire son extension de maison traditionnelle sans dénaturer l’existant. L’emplacement est un élément déterminant dans la définition de votre projet d’extension. La maison qui s’agrandit par le pignon est la solution privilégiée pour les terrains en longueur et ceux qui souhaitent une intégration parfaite à l’existant. Le positionnement peut aussi être en angle pour répondre à un besoin d’intimité, de protection. Celui-ci est souvent employé pour les suites parentales. Combien coûte une extension de maison traditionnelle ? Le prix d’une extension de maison traditionnelle dépend des matériaux choisis et de la technique de construction retenue. Le coût de la construction dépend aussi d’autres facteurs La localisation de la maison La taille de l’extension N’hésitez pas à prendre contact avec nos conseillers en région ou à faire notre “estim quizz” pour vous renseigner sur le coût de votre extension de maison traditionnelle. Estim quizz ! 30 secondes, 3 questions et 1 estimation pour Extension traditionnelle nos réalisations et nos modèles En bois, en brique, à toit plat, en ardoises ou en tuiles, sur pilotis ou de plain pied,… la variété de nos extensions est le reflet des goûts de nos clients et de l’inspiration de notre bureau d’études et architecte partenaire. Nous vous les dévoilons pour notre plus grand plaisir ! Nos conseils sur les extensions de maisons traditionnelles
Les hourdis sont des éléments préfabriqués. Conçus suivant des tailles différentes et d’épaisseurs variées, ils sont également appelés entrevous, et se retrouvent souvent entre les poutrelles pour la création d’un plan horizontal. La spécificité du hourdis en briques Les avantages des hourdis en brique sont nombreux. La brique n’émet aucune substance nocive aux ouvriers lors de sa manipulation, ni à la santé des futurs habitants de la maison. De plus, la mise en œuvre d’entrevous en brique est facile. Certes, ils sont lourds par rapport à ceux en bois ou en polystyrène mais ils restent assez légers et faciles à manœuvrer, contrairement à ceux en béton. L’opération ne nécessite donc aucun outil de levage particulier. Bon isolant phonique, la présence de briques dans le plancher assure à la fois la fermeté et l’inertie thermique. En plus, la terre cuite limite le risque de condensation et de moisissures, elle préserve la qualité de l’air grâce à sa grande capacité d’absorption. Inerte et poreuse, la brique est la matière par excellence contre l’humidité du plancher grâce à sa capacité d’absorber l’eau. Elle s'avère donc idéale pour la construction dans les régions à climat plutôt pluvieux. Comme si cela ne suffisait pas, au fil du temps, le hourdis en brique devient aussi très résistant au feu. Il offre aux propriétaires une grande chance de survivre en cas d'incendie. Pour le reste, on pourrait aussi citer la réduction des quantités de ciment, accompagnée de sa compatibilité avec n’importe quel type de plancher. L’utilisation d’un entrevous en brique présente malgré cela quelques inconvénients. Sa mise en œuvre nécessite malheureusement obligatoirement un système d’étayage renforcé pour une bonne stabilité. Et l'opération requiert une grande main-d’œuvre. Mais si vous avez des volontaires sous la main, c'est une option qui vaut très clairement le coup. Le principe de fabrication du hourdis en terre cuite ancien Ce type d’entrevous en brique est fabriqué de la même manière que les blocs de briques. Lorsque l’argile a été extraite, il sera préparé en étant broyé et malaxé. Après cela, elle sera façonnée suivant l’aspect que nous souhaitons obtenir, pour aboutir au séchage et à la cuisson. Mettre les poutrelles en place Commençons par le repérage des surfaces pour l’appui des poutrelles. Il se fera à l’aide d’un laser ou d’un cordeau traceur. Nous ferons un trou dans le mur et nous le resserrerons avec de grosses pierres. Avant d’installer la poutrelle, veillons à ce que celle-ci soit bien ajustée au niveau de sa longueur. Le disque à tronçonner servira pour la coupe. La mise en place de la poutrelle est très facile il suffit de la poser, en la plaçant dans le trou. Étant donné qu’elle doit être bien fixe, il faut l’enfoncer un peu plus loin. Et pour l’ajustement des espacements de chaque poutrelle, la pose des hourdis sur le dessus procure une aide inestimable. Poser les hourdis L’étayage consiste à poser des poutrelles en bois. Ces dernières permettent alors d’installer tous les étais. Quand ils sont bien mis en place, nous pouvons désormais passer au remplissage des espaces avec les hourdis. Nous raccourcirons les hourdis en le fracturant et en le répartissant sur les autres espaces. Nous relierons ensuite les poutrelles par des chaînages filants. Mettre du béton L’étape suivante sera de disposer du treillis soudé par de l’armature au-dessus. En vue de bien lier le taillis et le drainage, ajoutez des fers appelés chapeaux. Faites couler le béton sur le dessus et drainez du béton peut se régler. Pour cela, nous utiliserons des cales et des chevrons ainsi qu’une cellule à longue portée. Nous passerons au débullage à l’aide d’une règle à deux manches qui sera suivie d’une règle vibrante. Et nous achèverons par le séchage. L’isolation du hourdis Plusieurs jours après le séchage, la pose de la dalle sur les panneaux isolants est importante. Veillons à bien combler toutes les petites fentes. De plus, fixons des bandes isolantes sur le bas des murs en nous servant du mortier de la chape. Lorsque nous arrivons à terme, nous lisserons avec une taloche pour perfectionner. Le temps de pause est important avant de revêtir le sol. Le RécapComment concevoir un plancher en hourdis brique ?La spécificité du hourdis en briquesLe principe de fabrication du hourdis en terre cuite ancienComment réaliser un plancher ou un faux-plafond en hourdis ?Mettre les poutrelles en placePoser les hourdisMettre du bétonL’isolation du hourdis
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